Lene

Nom : Hargreaves

Prénom : Lene

Age : (16 ans minimum) 18 ans

Sexe : Féminin

Sexualité : Hétérosexuelle, probablement.

Pouvoir : (1 maximum) Hypnose

Objets : (2 maximum)
- Senbon (dont une dizaine à clochette)
- Katana

Caractère : (5 lignes minimum) Alors que son physique laisse à croire qu'il s'agit d'une jeune fille sans défense, il n'en est rien. Lorsque l'on se retrouve le couteau sous la gorge, il devient rapidement clair que la jeune fille illustre parfaitement le terme démon prisonnier d'un corps d'ange. Lene affiche toujours d'un air perpétuellement chaleureux et serein, image soigneusement étudiée. Qui pourrais se douter que cette charmante jeune fille pourrait vous tuer de sang-froid sans pour autant tomber son masque ? Personne effectivement...
Le pire, c'est que la seule chose qui lui procure un sentiment de plaisir, c'est l'assassinat. En dehors, elle n'éprouve strictement aucun sentiment...
Elle joue énormément avec son physique, endormant l'esprit alerte des gens en face d’elle qui pensent croiser une simple jeune femme à peine sortie de l'adolescence. Cette confiance envers elle se révèle toujours être un aller simple vers l'oubli...

Physique : (5 lignes minimum) En entendant les mots "tueur à gage", on a tendance à imaginer un grand homme baraqué d'une trentaine d'année tout habillé de cuir noir, lunettes de soleil et pistolets à l'appui.
C'est sans doute pourquoi on a dû mal à imaginer Lene dans ce rôle.
En effet, la jeune femme est plutôt frêle, fine et pas spécialement grande. Sa peau est très blanche, un véritable teint de porcelaine, de la même façon que les rouquines, bien qu'elle ne soit pas rousse. Non, Lene a les cheveux d'une couleur...singulière. Rose, à vrai dire. Rose, très longs, et lisses.
D'ailleurs ce rose éclatant jure avec le bleu perçant de ses yeux. Un bleu profond, dont la clarté varie selon l'éclairage. Ou au contraire, se marie très bien avec la couleur rosée de ses lèvres bien dessinées.
Quand à ses mains arachnéennes, fines et agiles, jamais on ne douterait qu'elles passent un temps considérable à tenir toute sortes d'armes diverses et variées...

Histoire : (10 lignes minimum)
Du blanc, partout. Comme dans les hôpitaux. D'ailleurs, on nous disait que c'était un simple orphelinat, mais je n'étais pas dupe... Les pensionnaires que l'on voyait régulièrement partir, emmenés par des hommes en costume d'un blanc immaculé, ne revenaient jamais.
Dans mon esprit d'enfant, j'avais tout imaginé : On les emmenait en patûre à un Dieu de la Blancheur, on les traînait droit dans la cuisine pour nous les faire manger (ce qui expliquerait la nourriture infecte), on était en réalité tous rassemblés par une troupe d'extra-terrestre qui nous étudiaient,... Oui, j'avais imaginé une tonne d'histoires abracadabrantes.
Mais je n'avais jamais envisagé qu'il s'agissait en fait d'un institut illégal qui se servaient de nous comme cobayes pour des expériences illicites. Pourtant, moi qui ne manquait pas d'imagination, j'aurais peut-être dû deviner ça...
Bien entendu, mon tour finit par arriver. Cela commença comme pour tous les autres enfants...

"Mademoiselle Lene Hargreaves, numéro 73, est priée de bien vouloir se rendre en salle 26 pour un examen médical. Mademoiselle Lene Hargreaves, numéro 73,..."

Je restais tétanisée. Un Homme en Blanc me prit gentiment par le bras, se proposant de m'accompagner jusqu'à ladite salle. Ahurie, je le suivis sans rien dire, traversant ce couloir éclatant de blancheur comme dans un rêve.
En vérité, je l'appris plus tard, il avait déjà mis une sorte d'anesthésiant dans ma nourriture, un produit qui me faisait oublier toute sensation en me donnant l'impression de vivre hors de la réalité, hors de mon propre corps que je ne parvenais plus à contrôler.
On m'amena jusqu'à une table d'opération. Le regard dans le vague, je frissonais d'horreur, sans parvenir à bouger le moindre muscle comme je le désirais.
Soudain, le noir. Je m'étais endormie paisiblement.
Lorsque je me réveillais, j'avais l'impression d'avoir vécu un cauchemar. Je bougeais lentement les doigts, repensant à ce que j'avais ressenti lorsque j'avais eu l'impression de ne plus pouvoir bouger mon propre corps.

"Jamais plus... Cette sensation..."

Une personne rentra dans la pièce à côté un café à la main, et me vit les yeux grands ouverts à travers la vitre de sa chambre placée en observation. Il eu un regard ahuri et pris un téléphone d'un geste brusque.

"La Direction s'il vous plaît. TOUT DE SUITE. Elle s'est réveillée."

La personne entra dans la pièce et pris ma tension. Je la regardais faire, la fixant intensément.

"- Plus jamais...
- Que dis-tu petite ?
- Jamais plus... Cette sensation...
- Ne t'inquiète pas va, tu ne ressentiras plus jamais rien."

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J'étais restée dans le coma pendant plusieurs années, après que l'on m'eu arraché le coeur lors d'une opération complexe. D'après ce que j'ai entendu dire, j'étais la première a y avoir survécu. Tout cela peut paraître très éteange, mais après tout maintenant que nous sommes en 2327, plus personne ne s'étonne de rien...
Je ne ressentais plus la moindre sensation. Ni douleur, ni joie. Le goût répugnant de la nourriture de l'Institut me laissait de marbre. Quelqu'un pourrait être torturé dans les pires souffrances devant moi que je ne ressentirais pas la moindre once de révolte ou de compassion.
Je ne ressentais qu'une chose : Le vide absolu. J'avais sans cesse l'impression de flotter, être intouchable dépourvu de tout sentiment désagréable...et agréable.

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Dès que j'atteins un état physique convenable, je fus soumise à un entraînement intensif. Shuriken, kunai, senbon, katana... Toutes sortes d'armes passèrent entre mes mains de plus en plus habiles chaque jours. Pourquoi un tel entraînement ? Je ne le savais pas moi-même.
On finit par m'annoncer que j'étais fin prête à devenir une tueuse professionnelle au service du gouvernement.
Si j'étais encore capable de ressentir quoi que ce soit, je bouillonerais de rage. J'exprimais ce manque de sentiment en tuant tout ceux qui se dressèrent sur mon chemin, lorsque je partit de l'Institut. Pour toujours.
En tuant tous ces gens, j'avais ressenti une étrange jubilation. Un sentiment de jouissance intense. J'avais eu enfin l'impression d'exister...

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Je devins tueuse à gage. C'était un moyen facile de gagner de l'argent, et de plus, mon seul moyen de ressentir cette même sensation de bonheur qui m'avait envahit lorsque je m'étais enfuie de l'Institut... Je grimpais très vite les échelons de la "Hiérarchie" qui régnait dans le milieu. Je fus bientôt tristement célèbre pour mon impitoyabilit, mon apparence trompeuse, et, surtout, ma jeunesse.
J'étais particulièrement douée avec les senbon, des armes semblables à de grandes aiguilles qui provoquaient une mort certaines lorsqu'elles touchaient un point vital, et avais mis au point une technique avec des clochettes accrochées à des senbon, qui en fusant vers l'ennemi créait une vibration qui agit directement sur le tympan et le cerveau, provoquant des troubles de la vision. La maîtrise du katana n'avait non plus aucun secret pour moi.
J'avais aussi, et ça c'était mon petit secret, une...particularité que j'appris à maîtriser avec le temps. En regardant les gens dans les yeux je pouvais leur faire faire ce que je voulais. En d'autres termes : je les hynotisaient. Plus pratique que la torture pour arracher un renseignement...

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J'atteignais à peine la majorité, lorsque je reçu une lettre d'une personne inconnue. Un nouveau riche, sans doute...
Je me rendis au lieu de rendez-vous, parfaitement à l'heure. C'était un gratte-ciel immense, aux multiples vitres de verre. On m'arrêta à l'entrée, les gardiens probablement frappés par ma jeunesse et mes cheveux d'un rose éclatant.

"- Stop. Vous allez où comme ça ?
- Quelle question. Voir votre patron, pardis.
- Vous vous appellez ?
- Lene Hargeaves."

Le garde éclata d'un rire tonitruant. Apparemment, il était au courant de ma visite et semblait trouver très amusant que je puisse être le tueur à gage à qui son cher patron allait confier ses basses besognes.

"- Bien sûr. Et moi je suis la Reine d'Angleterre...
- Vous êtes très belle pour votre âge.
- On veut plaisanter hein ? Vos papiers d'identité."

Je sortit ma carte d'identité, souriante. Je lui jetait un coup d'oeil appuyé, pendant qu'il se confondait en excuse.

"Je vous escorte..."

Après avoir monté en ascenceur un nombre considérable d'étage entourée de deux gardiens, j'arrivais enfin au bureau de ledit patron. Je me demandais quel travail celui-ci comptait me confier...
Les portes vitrées de l'ascenceur higth-tech s'ouvrirent, laissant place à un couloir luxueux. Au fond, une magnifique porte d'époque, apparemment en bois d'ébène.
J'y entrais sans frapper, à voir le nombre incroyable de caméra dans cet immeuble, nul doute qu'il savait déjà que j'étais derrière sa porte. Au moins mon geste lui économiserait-il de la salive.

"- Vous êtes en retard.
- J'étais à l'heure. Vos gardiens ont eu la gentillesse de me permettre d'arriver après l'heure convenue, se disant sans doute qu'une jeune femme doit savoir se faire attendre."

Il sourit, plongeant son regard dans mes yeux bleu étincelants.
Je lui plaisais déjà.

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...Comme une bonne cinquantaine d'autres personnes, je m'éveillais dans une chambre étrange du labyrinthe. Mais à l'inverse d'eux, tout cela ne m'étonnait pas le moins du monde...
Allez savoir pourquoi.

Code : Oukiii

Invité

Bienvenuuuuuuuue ^^
Vivement que tu es fini ! Tu auras le droit à mon zoli p'tit validé (L)
Tout le monde est d'accord sur ce point : c'est MES validés les plus zolis Cool

Walààààààààààààààààààà
Ma p'tite sadique sanguinaire est fin prête à l'action xD

Mériterais-je l'honneur d'avoir un "zoli" validé de vous, ô grande Fennel ? Rolling Eyes

Invité

Avec plaisir mon petit chou Lene 61826

.: Fiche Validée :.

.Bon Jeu.

mdr

Bienvenu

Tu essayes d'avoir Fennel de ton côté ...

Mais c'est pas elle la plus dangereuse

le maitre du jeu est bien plus mechant ^^

Invité

Arrête de faire peur à cette petite Yun-chan !
Lene 61826

Et puis qu'est-ce que tu racontes ? Je suis bien plus terrifiante que le Maître du Jeu quand je veux. Namého.